à propos de Fuly

 

PRÉFACE de son livre "Le souffle purificateur tibétain"

 

Avez-vous comme moi été passionné par la rubrique de Sélection, << L'Homme le plus extraordinaire que i'ai rencontré »»?

Je ne pensais pas qu'un iour il m'arriverait de rencontrer cet être aussi étonnant et qu'il me serait donné d'en parler. Eh bien, c'est dans le Midi que i'ai eu la ioie de faire la connaissance de Fuly di Centa de Serres qui m'est apparu comme cet être le plus << extraordinaire >».

En effet, après les différents accidents qui l'ont amené à t'état actuel, et que tout le monde connaît, à savoir, irradié par la bombe au cobalt 60 (radio-active) à la suite des premières expérimentations sur la cobaltothérapie, Fuly di Centa de Serres a été obligé, pour survivre, de se soumettre à de véritables expérimentations scientifiques, conduites par les plus grands savants du monde, notamment les laboratoires et les équipes de Houston. Un homme qui voit et qui n'a pas d'yeux; qui entend et gui n'a pas de fonction auditive; qui marche, qui va et vient, et qui, sans l'aide d'appareils spéciaux s'effondrerait; un homme dont le sang est privé de la plupart de ses globules rouges et qui n'a plus de plaquettes; un homme qui ne peut digérer sans stimulations électroniques et qui ne dort iamais, eh bien, un être sembtable existe. et c'est ainsi que ie l'ai vu, et i'ai été absolument bouleversé.

A travers ses différents instruments, qui feraient croire à première vue, et pour quelqu'un de non initié, qu'il s'agit d'un véritable robot, j'ai trouvé un homme, avec son coeur, avec sa sensibilité immense, et cette mentalité étonnante qui fait qu'à ta fois son éducation première acquise au Tibet, et son éducation seconde empruntée à l'Occident, ont réalisé chez lui une harmonieuse dualité qui lui permet de connaître à la fois l'Occident à travers sa mentalité orientale et l'Orient à travers sa mentalité d’Occidental.

Fuly di Centa de Serres, médecin oriental et des différents pays occidentaux, n'a pas fini de nous étonner. Par ses différents écrits médico-scientifiques et médico-sociaux, par son état d'esprit ouvert et sans préjugé, et son amour universel pour les êtres qui souffrent et peinent, il est capable chaque fois de nous donner une vision tout à fait nouvelle des choses et des humains en ce monde tourmenté. Ses connaissances en médecine moderne lui permettent d'envisager les problèmes médicaux avec une rigueur scientifique qui est peu commune, mais également et surtout, avec un humanisme tout à fait surprenant. J'ai été frappé par sa simplicité, la spontanéité de sa pensée. et son bon sens gui lui permettent d'aborder tous les problèmes avec efficacité et justesse.

Certes, d'abord le médecin doit bien connaître son métier et c'est son cas, mais lorsqu'il est près de son malade, il doit le comprendre. ll doit réussir à lui donner autre chose que des soins si parfaits soient-ils: un contact humain est indispensable. J'ai vu di Centa de Serres auprès de malades. ll y a chez lui un don extraordinaire pour redonner à celui qui l'écoute le goût de la vie et l'espoir en la guérison.

Malgré toutes ses infirmités dont il a su si bien triompher, marchant, allant, parlant et voyant comme I'un de nous, il nous fait oublier que c'est grâce à la science la plus moderne qu'il est capable d'être ainsi parmi nous.

Docteur P. NOGIER

Président du Groupe Lyonnais d'Études Médicales

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revue "Ensemble"

« SCIENCES TIBETAINES »

De Fuly DI Centa-De-Serres

Par Claire Pascal

 

   L’auteur, Fuly Di Centa-De-Serrres (Tchang Young Pan), médecin et savant, descendant des Habsbourg, il n’acquit en 1920, au château des trois vallées, bâtisse du XIVe siècle au sommet des Karnische Alpen, au moment où le traité de Versailles ordonnait le rattachement de cette partie de l’Autriche à l’Italie de Mussolini.

   Aussitôt son père, comme le lui conseilla par un amical message Gabriele d’Annunzio, se vit contraint de fuir le château avec le nouveau-né et une partie des siens, pour se rendre au Tibet ; non seulement afin d’échapper aux conséquences de ce rattachement, mais pour faire donner à son fils une instruction véritable, par l’entremise et l’enseignement de son grand ami le médecin-lama Chime-Lin-Digo qui reparti avec eux.

   Après ce voyage long et périlleux, raconté par Fuly Di Centa-De –Serres dans son œuvre à paraître « Né pour être un autre », son éducation s’accomplit au « Potala » où il passa la meilleure partie de sa jeunesse. Avant l’invasion et l’annexion du Tibet par la Chine de Mao, le Potala, le plus grand, le plus impressionnant de ses édifices, se détachant sur les pics gris et blancs de l’himalaya, était le siège du pouvoir spirituel et temporel. C’était là que la Souverain et les membres de son cabinet exerçaient leurs fonctions ; la salle du Dalaï-lLama donnait au sud, surplombant la vallée à 1500 m à l’Est, Lhassa la capitale avec ses agglomérations de maisons.

   L’auteur nous dit dans sa préface, avoir fait dans « Sciences Tibétaines » un résumé de l’enseignement qui lui fut donné par ses maîtres du Tibet, afin d’aider celui qui déjà spiritualiste ou non, ressent l’appel de l’absolu, à découvrir les sources de la Vie et de l’Etre, sous toutes les apparences qui les lui cachent ou avec lesquelles il y a un profond désaccord ; surtout à une époque où l’humanité est en régression. Cet enseignement ou initiation adapté aux « conditions spéciales de la vie occidentale à notre époque » et apparenté au Yoga bien que s’en distinguant, nous invite à un entraînement mystique (ou l’entraînement physique et l’entraînement psychique vont de pair), destiné à nous « faire sentir plus profondément la magnifique réalité de l’existence : notre identité avec le mystère de la  « Vie et du Divin » et à nous éclairer ou nous conduire en cette voie.

   Ce savant qui connaît plusieurs langues, a su acquérir de la nôtre une clarté qui ne caractérise pas toujours les écrivains français, permettant la plus complète compréhension de ce condensé. Sa lecture est donc passionnante. A travers la description, l’explication d’exercices qui conduiront à l’étape suprême, il nous apporte d’abord d’utiles conseils et renseignements pour la santé physique, l’équilibre général et la connaissance de soi. « Connais-toi toi-même » enseignait Socrate. Formule valable en tous les temps, pour le corps et l’esprit.

   Nous comprenons mieux, en effet, dans les mystérieuses connexions de notre organisme avec le milieu ambiant, l’importance de la fonction respiratoire. Sur le plan pratique à mieux respirer, ce qui tonifie et fortifie ; son rôle sur le plan psychique et de l’esprit (ses liaisons avec le « souffle » et le « corps astral »). L’importance d’une bonne diététique pour la circulation, autre fonction d’échange ; qu’il faut peu et bien manger, donner la préférence à certains aliments (ceux-ci, de même que les médicaments n’ayant pas le même effet d’une personne à l’autre). Nous apprenons que, sur cette voie ascendante, la maîtrise de soi s’acquiert progressivement, en réfrénant mauvaises habitudes, gourmandises, passions nocives, etc…

   Beaucoup de gens inconsciemment ou non, se fuient, fuient leur vérité, leur être profond, de la même manière qu’ils fuient l’idée de la mort ou les mystères de la vie. Or, il ne convient pas de fuir ce qui est l’unique enjeu de l’existence, mais de l’assumer pleinement, par la réflexion, l’amélioration de soi-même. En l’occurrence, une telle lecture nous montrera la force en nous de la pensée, donc de l’esprit moteur de l’existence qui règle le cours de notre vie et de nos mouvements, par ses « représentations » les plus inconscientes ; la puissance de ses représentations, dans un univers qui peu n’avoir rien de commun avec elles, selon la Réalité et la Sur-Réalité.

   En même temps, nous prendrons de l’écart entre ce que nous croyons et ce qui est, entre le font et les apparences, afin de découvrir notre vrai moi sous ces contradictions, sous les gestes instinctifs ou passionnels ; ceci pour une meilleure approche de nous-mêmes et de Dieu, dans une véritable croissance. N’est-ce pas là d’ailleurs, différemment exprimé, le message du Christ, lorsqu’il nous parle de l’éveil, de l’homme nouveau, de cette robe blanche qu’il faut revêtir pour le jour où le Maître viendra ? Le seul, « celui qui est » ?

   Si cet enseignement ne contredit pas les religions et au contraire s’en approche (particulièrement du Christianisme par plusieurs références aux évangiles), c’est qu’il emprunte un chemin analogue pour la voie ascétique, celui du dépassement et qu’il prend pied, en leur ésotérisme, à partir de la croyance à un même Dieu Principe Créateur.

   Assurément les saints brûlent toutes les étapes de la croissance intérieures et de la communion avec Dieu : Absolu, Source suprême des Idées, de l’Esprit ; par un branchement supérieur de leur être, effet d’un puissant attrait, d’un choix essentiel et primordial, qui leur fait accomplir par Amour, les sacrifices pour mériter, en se purifiant, l’union plus ou moins parfaite avec Celui qui est tout.

   Donc, indépendamment de l’enseignement religieux propre qu’il peut éclairer d’une certaine manière, ce livre nous aidera à avancer, au-delà de l’éphémère, sur la voie de l’invisible caché.

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HISTORIQUE

 

 

 

 https://www.dissident-media.org/infonucleaire/accidents_reacteurs.html

15 octobre 1958 - Vinca (Yougoslavie). Excursion de puissance d'un réacteur de recherche à eau lourde, suite à un mauvais réglage du niveau d'eau lourde. Pas d'explosion, mais six personnes gravement irradiées (un mort). [Lors de la montée de l'eau dans le réacteur, la mesure de puissance étant défectueuse, celle-ci a continué au-delà de la surcriticité. Détection olfactive par un opérateur (dégagement d'ozone). Pas d'endommagement du coeur. 1 mort (433 rem) et 5 personnes irradiées (205 - 320 - 410 - 415 et 422 rem) ont étés  traitées à Paris par greffe de moelle osseuse.

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https://www.aaihp.fr/Publication/RisqueNucleaire-2.pdf

(Pr. Mathé)

"Dans le cas de Vinca, le dispositif de mesure des rayonnements avait été déconnecté du système d’alarme et de la commande de chute automatique des barres de contrôle. Des huit personnes irradiées, je reçus cinq survivants en état d’irradiation totale aiguë. Hospitalisés à la Fondation Curie pour des raisons de proximité d’experts sûrs en radiocancérologie, ils furent placés en chambre stérile et traités par des greffes de moelle, une première thérapeutique qui focalisa tous les regards, par presse interposée."

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https://boutique.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/CAF91030913/les-atomises-yougoslaves.fr.html#

Parmi les huit scientifiques irradiés, cinq ont été traités par greffe de moelle osseuse à Paris, les cinq sont présents sur la vidéo, un scientifique est mort 32 jours après l'accident, Fulgenzio faisiat-il parti des deux autres victimes en plus d'avoir été irradié par le cobalt 60.

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https://archiviodistatoudine.beniculturali.it/inventari/Commissariato_PS_Tolmezzo_inventario.pdf

Plutôt étrange que le gouvernement italien considère Le Docteur Fulgenzio Di Centa comme ayant collaboré avec le parti fasciste de Mussolini, alors qu'il était résistant....

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Extrait de son livre "La résistance du petit juif" éditions La pensée universelle

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voyages, ruptures et métamorphoses : des Occidentaux en quête d'autres mondes

Couverture
Editions Autrement, 2000 - 437 pages
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